Akhannouch, qui intervenait lors de la séance consacrée au bilan d'étape de l’action du gouvernement, a souligné que ce dernier avait annoncé 40 engagements dans son programme gouvernemental, dont la majorité ont été honorés, notant que les dernières réalisations incluent la signature, à la veille du 1er mai, de l'accord sur le dialogue social.
Le chef du gouvernement a passé en revue les acquis réalisés au niveau social, notamment la protection du pouvoir d'achat des citoyens, à travers une revalorisation des salaires des employés des secteurs public et privé, une augmentation de 20% du salaire minimum dans les activités non agricoles et de 25% du salaire minimum dans les activités agricoles, outre un soutien direct au logement et à la stabilisation des prix de l'électricité et des transports.
Il a ajouté que les efforts sont en cours pour assurer la viabilité financière des différents programmes sociaux, qu'il s'agisse de l'assurance maladie obligatoire, de l'aide sociale directe ou encore de l'aide au logement, que le gouvernement a mis en place au début de son mandat, dans le cadre d'une démarche volontariste et de la vision stratégique ambitieuse de Sa Majesté le Roi Mohammed VI.
M. Akhannouch a relevé, à cet égard, que les ressources du fonds d'appui à la cohésion sociale sont en hausse, tandis que les dépenses d’aide directe se stabiliseront à 38 milliards DH à partir de 2026, notant que l'augmentation des ressources budgétaires permettra de couvrir les dépenses en faveur du dialogue social, qui vont s'élever à plus de 44 milliards DH d'ici 2026.
Il a expliqué que la pérennité des programmes sociaux requiert l’amélioration par le gouvernement des ressources financières de l'Etat, à travers la bonne gestion des finances publiques et l'activation de la loi-cadre de réforme fiscale, soulignant que les recettes fiscales ont atteint près de 325 milliards DH en 2023, en hausse d'environ 100 milliards DH par rapport à 2020.
Le chef du gouvernement a affirmé que 70% des familles marocaines ont bénéficié des mesures du programme gouvernemental, estimant que les mesures gouvernementales, notamment après le récent accord social, ont un impact tangible sur la vie quotidienne de la plupart des familles.
Il a également souligné le succès du gouvernement dans la maîtrise de l’inflation, qui a atteint 9,1% au cours des trois premiers mois de 2023, avant de baisser à 1,2% en 2024, soulignant que ce recul est l’aboutissement des programmes gouvernementaux portant sur les secteurs de l'agriculture et des transports.
D'autre part, M. Akhannouch a souligné l'importance de créer des emplois déclarés à la Caisse Nationale de Sécurité Sociale, garantissant aux salariés et à leurs familles tous leurs droits sociaux légitimes.
Il a indiqué, à cet égard, que le gouvernement a réussi au cours des deux dernières années, à créer plus de 621.000 postes d'emploi.
S’agissant de la promotion de l'investissement, le chef du gouvernement a noté qu’à la faveur notamment de la reprise de l'économie nationale l'année dernière et de l'amélioration de l'attractivité du climat des affaires, le début de 2024 est marqué par des signes très positifs avec une amélioration notable de 25 pc des investissements directs étrangers par rapport à la même période de l’année dernière.
Le chef du gouvernement a passé en revue les acquis réalisés au niveau social, notamment la protection du pouvoir d'achat des citoyens, à travers une revalorisation des salaires des employés des secteurs public et privé, une augmentation de 20% du salaire minimum dans les activités non agricoles et de 25% du salaire minimum dans les activités agricoles, outre un soutien direct au logement et à la stabilisation des prix de l'électricité et des transports.
Il a ajouté que les efforts sont en cours pour assurer la viabilité financière des différents programmes sociaux, qu'il s'agisse de l'assurance maladie obligatoire, de l'aide sociale directe ou encore de l'aide au logement, que le gouvernement a mis en place au début de son mandat, dans le cadre d'une démarche volontariste et de la vision stratégique ambitieuse de Sa Majesté le Roi Mohammed VI.
M. Akhannouch a relevé, à cet égard, que les ressources du fonds d'appui à la cohésion sociale sont en hausse, tandis que les dépenses d’aide directe se stabiliseront à 38 milliards DH à partir de 2026, notant que l'augmentation des ressources budgétaires permettra de couvrir les dépenses en faveur du dialogue social, qui vont s'élever à plus de 44 milliards DH d'ici 2026.
Il a expliqué que la pérennité des programmes sociaux requiert l’amélioration par le gouvernement des ressources financières de l'Etat, à travers la bonne gestion des finances publiques et l'activation de la loi-cadre de réforme fiscale, soulignant que les recettes fiscales ont atteint près de 325 milliards DH en 2023, en hausse d'environ 100 milliards DH par rapport à 2020.
Le chef du gouvernement a affirmé que 70% des familles marocaines ont bénéficié des mesures du programme gouvernemental, estimant que les mesures gouvernementales, notamment après le récent accord social, ont un impact tangible sur la vie quotidienne de la plupart des familles.
Il a également souligné le succès du gouvernement dans la maîtrise de l’inflation, qui a atteint 9,1% au cours des trois premiers mois de 2023, avant de baisser à 1,2% en 2024, soulignant que ce recul est l’aboutissement des programmes gouvernementaux portant sur les secteurs de l'agriculture et des transports.
D'autre part, M. Akhannouch a souligné l'importance de créer des emplois déclarés à la Caisse Nationale de Sécurité Sociale, garantissant aux salariés et à leurs familles tous leurs droits sociaux légitimes.
Il a indiqué, à cet égard, que le gouvernement a réussi au cours des deux dernières années, à créer plus de 621.000 postes d'emploi.
S’agissant de la promotion de l'investissement, le chef du gouvernement a noté qu’à la faveur notamment de la reprise de l'économie nationale l'année dernière et de l'amélioration de l'attractivité du climat des affaires, le début de 2024 est marqué par des signes très positifs avec une amélioration notable de 25 pc des investissements directs étrangers par rapport à la même période de l’année dernière.