Après un mois de jeûne et de prières, Ramadan touche à sa fin. Durant ce mois sacré, notre pays a enregistré d’importantes précipitations qui ont ravivé l’espoir des agriculteurs et rassuré les Marocains. Même si nos barrages ne sont pas remplis à ras bord, cette pluie nous a sauvés d’une situation qui aurait pu être dramatique à plus d’un titre. Ces pluies salvatrices devraient également avoir un impact positif sur les prix des fruits et légumes, mettant fin à la flambée enregistrée pendant le Ramadan.
Le mois sacré offre également une pause propice à la réflexion et à la mise en perspective de tout ce qui se déroule autour de nous. Cela concerne aussi bien l’intime, le familial, le professionnel que le plus global. Hormis quelques événements malheureux, ces quatre premiers mois de 2024 augurent d’une bonne année pour le Maroc. L’inflation, ce mal qui nous a tant préoccupés durant l’année précédente, est à son niveau le plus bas depuis le deuxième trimestre 2021.
Même constat pour la croissance économique qui, selon les dernières données du HCP, a atteint 2,9% au premier trimestre de cette année. Bien que ce chiffre puisse sembler modeste, il doit être mis en perspective par rapport aux précipitations insuffisantes, et surtout par rapport à la zone euro, notre principal partenaire commercial, qui affiche une croissance en deçà de 1%.
Enfin, le Ramadan marque une pause dans l’agitation politique et économique de notre pays. Après l’Aïd, le débat public sera certainement animé et polarisé autour de la très attendue réforme de la Moudawana. Le travail de la commission est arrivé à son terme, et les propositions de réformes ont été soumises à Sa Majesté le Roi Mohammed VI. Quelle que soit l’issue de ce débat, rappelons-nous les valeurs du Ramadan et de l’Aïd : en tant que Marocains, nous sommes tous soudés par un lien indéfectible.
Le mois sacré offre également une pause propice à la réflexion et à la mise en perspective de tout ce qui se déroule autour de nous. Cela concerne aussi bien l’intime, le familial, le professionnel que le plus global. Hormis quelques événements malheureux, ces quatre premiers mois de 2024 augurent d’une bonne année pour le Maroc. L’inflation, ce mal qui nous a tant préoccupés durant l’année précédente, est à son niveau le plus bas depuis le deuxième trimestre 2021.
Même constat pour la croissance économique qui, selon les dernières données du HCP, a atteint 2,9% au premier trimestre de cette année. Bien que ce chiffre puisse sembler modeste, il doit être mis en perspective par rapport aux précipitations insuffisantes, et surtout par rapport à la zone euro, notre principal partenaire commercial, qui affiche une croissance en deçà de 1%.
Enfin, le Ramadan marque une pause dans l’agitation politique et économique de notre pays. Après l’Aïd, le débat public sera certainement animé et polarisé autour de la très attendue réforme de la Moudawana. Le travail de la commission est arrivé à son terme, et les propositions de réformes ont été soumises à Sa Majesté le Roi Mohammed VI. Quelle que soit l’issue de ce débat, rappelons-nous les valeurs du Ramadan et de l’Aïd : en tant que Marocains, nous sommes tous soudés par un lien indéfectible.
