Suite à la persistance des goulots d’étranglement dans les chaînes d’approvisionnement, le Royaume multiplie les efforts pour accroître la production nationale en mettant à contribution les derniers travaux de recherche concernant des variétés adaptées. A cette fin, six nouvelles variétés de blé dur et d'orge ont été développées par une équipe internationale de scientifiques, avec une spécificité toute particulière : la résistance aux épisodes de sécheresse de plus en plus sévères dont souffre le Royaume.
Créées à l’initiative du Centre International de Recherche Agricole dans les zones Arides (ICARDA) et ses partenaires marocains, à savoir l’Institut National de la Recherche Agronomique (INRA) et l’entreprise semencière Benchaib semences, ces six variétés prometteuses de blé dur et d’orge, devront permettre aux agriculteurs d’avoir un meilleur rendement avec une qualité nutritionnelle plus importante.
Il a fallu près de 10 ans de recherches pour mettre au point à ces variétés, grâce aux ressources génétiques de grains ancestraux, collectés et conservés dans la Banque de Gènes d’ICARDA à Rabat.
Ces grains ancêtres ont pu résister sans aucune intervention humaine, pendant des millénaires dans des conditions climatiques extrêmement rudes. Ils comportent ainsi des traits génétiques essentiels qui peuvent être utilisés pour produire de nouvelles variétés avec une résistance accrue aux difficultés climatiques comme la sécheresse.
Il s’agit en l’occurrence de trois nouvelles variétés de blé dur intitulées « Nachit », « Jabal » et « Jawahir » et trois autres variétés d’orge : « Chiffa », « Assiya » et « Khnata ». Ces espèces ont démontré leur performance, d’autant qu’elles répondent aux attentes des professionnels et des agriculteurs. De ce fait, elles ont été inscrites au catalogue national des semences et seront bientôt disponibles et commercialisés pour la cultivation dans toutes les régions du Maroc.
Créées à l’initiative du Centre International de Recherche Agricole dans les zones Arides (ICARDA) et ses partenaires marocains, à savoir l’Institut National de la Recherche Agronomique (INRA) et l’entreprise semencière Benchaib semences, ces six variétés prometteuses de blé dur et d’orge, devront permettre aux agriculteurs d’avoir un meilleur rendement avec une qualité nutritionnelle plus importante.
Il a fallu près de 10 ans de recherches pour mettre au point à ces variétés, grâce aux ressources génétiques de grains ancestraux, collectés et conservés dans la Banque de Gènes d’ICARDA à Rabat.
Ces grains ancêtres ont pu résister sans aucune intervention humaine, pendant des millénaires dans des conditions climatiques extrêmement rudes. Ils comportent ainsi des traits génétiques essentiels qui peuvent être utilisés pour produire de nouvelles variétés avec une résistance accrue aux difficultés climatiques comme la sécheresse.
Il s’agit en l’occurrence de trois nouvelles variétés de blé dur intitulées « Nachit », « Jabal » et « Jawahir » et trois autres variétés d’orge : « Chiffa », « Assiya » et « Khnata ». Ces espèces ont démontré leur performance, d’autant qu’elles répondent aux attentes des professionnels et des agriculteurs. De ce fait, elles ont été inscrites au catalogue national des semences et seront bientôt disponibles et commercialisés pour la cultivation dans toutes les régions du Maroc.
