
La Mineuse sud-américaine est une espèce d’insectes qui attaque en particulier les feuilles et les fruits de la tomate.
Le 6 juin marque la Journée mondiale des ravageurs. Derrière ce nom peu engageant se cache une menace bien réelle pour l’agriculture, au Maroc comme ailleurs. Insectes, rongeurs ou micro-organismes dévastent les cultures, affaiblissent les plantes et perturbent les écosystèmes.
Dans un pays où l’agriculture reste un pilier économique et social, cette pression est d’autant plus préoccupante. La lutte contre les ravageurs s’inscrit dans le temps long. Changement climatique, mobilité accrue des échanges et érosion de la biodiversité aggravent la prolifération et compliquent les réponses. Biocontrôle, insectes stériles, surveillance renforcée… Ces méthodes intégrées s’imposent peu à peu, mais peinent encore à freiner les pertes. Car derrière chaque attaque, c’est la sécurité alimentaire qui vacille.
Dans un pays où l’agriculture reste un pilier économique et social, cette pression est d’autant plus préoccupante. La lutte contre les ravageurs s’inscrit dans le temps long. Changement climatique, mobilité accrue des échanges et érosion de la biodiversité aggravent la prolifération et compliquent les réponses. Biocontrôle, insectes stériles, surveillance renforcée… Ces méthodes intégrées s’imposent peu à peu, mais peinent encore à freiner les pertes. Car derrière chaque attaque, c’est la sécurité alimentaire qui vacille.
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