Le verdict vient de tomber dans l’affaire de vol fictif diffusé sur les ondes de Hit Radio, dans le cadre de l’émission “Momo morning show”. Le tribunal de première instance d’Aïn Sebaa a condamné, mardi, l’animateur, Mohamed Bousfiha, Alias Momo, à quatre mois de prison ferme, selon une source sûre.
La Cour a également condamné les deux autres prévenus, poursuivis dans cette affaire. Une peine de cinq mois de prison ferme a été prononcée à l'encontre de nommée “Amine” tandis que l'autre accusé, Moustapha, a écopé de trois mois de prison ferme et ce, pour « invention de crime fictif et outrage à une institution organisée ».
Selon les avocats ayant assisté à l’audience, le parquet a rejeté les demandes civiles de « Hit Radio ». Laquelle a précédemment démenti tout lien avec les personnes à l'origine des faits dans cette affaire.
Entendu ce mardi par la Justice, l'animateur Momo a nié toute connaissance préalable des personnes impliquées dans cette affaire, affirmant que ses programmes radio "sont destinés à offrir des émissions divertissantes avec des jeux-concours, plutôt que de gagner en audience".
Pour rappel, Mohamed Bousfiha avait été initialement mis en liberté provisoire sous caution de 100.000 dirhams.
La Cour a également condamné les deux autres prévenus, poursuivis dans cette affaire. Une peine de cinq mois de prison ferme a été prononcée à l'encontre de nommée “Amine” tandis que l'autre accusé, Moustapha, a écopé de trois mois de prison ferme et ce, pour « invention de crime fictif et outrage à une institution organisée ».
Selon les avocats ayant assisté à l’audience, le parquet a rejeté les demandes civiles de « Hit Radio ». Laquelle a précédemment démenti tout lien avec les personnes à l'origine des faits dans cette affaire.
Entendu ce mardi par la Justice, l'animateur Momo a nié toute connaissance préalable des personnes impliquées dans cette affaire, affirmant que ses programmes radio "sont destinés à offrir des émissions divertissantes avec des jeux-concours, plutôt que de gagner en audience".
Pour rappel, Mohamed Bousfiha avait été initialement mis en liberté provisoire sous caution de 100.000 dirhams.