Les services de la sûreté provinciale d'El Jadida ont interpellé mercredi dans la soirée 49 personnes, dont 18 mineurs, soupçonnées être impliquées dans des actes de violence, liés à des émeutes sportives, ivresse publique, vol, possession d'armes blanches et violence contre les forces de l'ordre au cours de l'exercice de leurs fonctions.
Selon des sources responsables, les suspects auraient commis, en compagnie d'autres personnes, des actes liés au hooliganisme sportif, pendant et après le match de football ayant opposé le DHJ-WAC, organisé mercredi soir au stade El Abdi à El Jadida pour le compte des quarts de finale de la coupe du Trône, et auraient également caillassé des véhicules des forces de l'ordre, causant de sérieux dégâts matériels et blessant neuf parmi leurs éléments.
Sur instruction du parquet compétent, les suspects interpellés ont été placés en garde à vue, pour le complément de l'enquête, alors que d'intenses recherches et investigations sont toujours en cours, pour neutraliser le reste de leurs complices.
Ce regrettable constat, nous amène à nous interroger: Pourquoi les exemples de violences dans la sphère footballistique continuent de se répéter ?
« D'aucun, le football est un sport populaire dans le sens où il réunit, à lui-seul, toutes les couches de la population contrairement aux sports plus élitistes », explique Thierry Zintz, professeur à l’Université Catholique de Louvain et ancien vice-président du Comité Olympique Interfédéral belge.
« En s’adressant à toutes les catégories sociales, le football devient un sport qui décuple les émotions populaires. Dès lors, il est aussi le seul sport qui cristallise autant le mal-être populaire.
On peut donc sentir le spectre des difficultés économiques et sociales qui planent au-dessus de ce genre de débordements ».
Selon des sources responsables, les suspects auraient commis, en compagnie d'autres personnes, des actes liés au hooliganisme sportif, pendant et après le match de football ayant opposé le DHJ-WAC, organisé mercredi soir au stade El Abdi à El Jadida pour le compte des quarts de finale de la coupe du Trône, et auraient également caillassé des véhicules des forces de l'ordre, causant de sérieux dégâts matériels et blessant neuf parmi leurs éléments.
Sur instruction du parquet compétent, les suspects interpellés ont été placés en garde à vue, pour le complément de l'enquête, alors que d'intenses recherches et investigations sont toujours en cours, pour neutraliser le reste de leurs complices.
Ce regrettable constat, nous amène à nous interroger: Pourquoi les exemples de violences dans la sphère footballistique continuent de se répéter ?
« D'aucun, le football est un sport populaire dans le sens où il réunit, à lui-seul, toutes les couches de la population contrairement aux sports plus élitistes », explique Thierry Zintz, professeur à l’Université Catholique de Louvain et ancien vice-président du Comité Olympique Interfédéral belge.
« En s’adressant à toutes les catégories sociales, le football devient un sport qui décuple les émotions populaires. Dès lors, il est aussi le seul sport qui cristallise autant le mal-être populaire.
On peut donc sentir le spectre des difficultés économiques et sociales qui planent au-dessus de ce genre de débordements ».
