"Suite à l'agression physique du professeur Abdelilah Bonader, je condamne vivement, en ma qualité de ministre de l'Education nationale, de l'Enseignement primaire et des Sports, cet acte odieux qu'a subi l'enseignant en exerçant ses fonctions à l'école primaire « L’étoile blanche » affiliée à la Direction Régionale de Berrechid", a déclaré M. Benmoussa.
Le parent d’élève, auteur de cet acte, qui a pris d'assaut l'établissement, ce mercredi 8 juin, en escaladant les murs et en agressant la victime à l'intérieur de cette école, a provoqué, selon le ministre, un état de terreur et de panique parmi les élèves.
"Le ministère que j'ai l'honneur de diriger condamne cet odieux acte et exprime son soutien absolu au professeur victime de cette agression", a-t-il ajouté, soulignant que la Direction Régionale a intenté une action civile à cet égard.
Dans ce sillage, Benmoussa a mis en avant la nécessité de respecter les membres du corps professoral et de dénoncer toutes les atteintes au caractère sacré des établissements d'enseignement, car ils sont des incubateurs pour le travail éducatif et les valeurs de la citoyenneté.
La scène de l'attaque a duré environ 10 minutes, durant lesquelles la séquence vidéo montre des scènes de violence inédites, alors que les élèves hurlaient de peur. La raison de ce différend, selon des médias nationaux, est le refus de l'enseignant d'accorder une autorisation d’absence à l'élève.
Le parent d’élève, auteur de cet acte, qui a pris d'assaut l'établissement, ce mercredi 8 juin, en escaladant les murs et en agressant la victime à l'intérieur de cette école, a provoqué, selon le ministre, un état de terreur et de panique parmi les élèves.
"Le ministère que j'ai l'honneur de diriger condamne cet odieux acte et exprime son soutien absolu au professeur victime de cette agression", a-t-il ajouté, soulignant que la Direction Régionale a intenté une action civile à cet égard.
Dans ce sillage, Benmoussa a mis en avant la nécessité de respecter les membres du corps professoral et de dénoncer toutes les atteintes au caractère sacré des établissements d'enseignement, car ils sont des incubateurs pour le travail éducatif et les valeurs de la citoyenneté.
La scène de l'attaque a duré environ 10 minutes, durant lesquelles la séquence vidéo montre des scènes de violence inédites, alors que les élèves hurlaient de peur. La raison de ce différend, selon des médias nationaux, est le refus de l'enseignant d'accorder une autorisation d’absence à l'élève.
