Ces derniers jours, l'accueil d’une délégation du front polisario à l’Assemblée nationale a suscité plusieurs réactions controversées. Accompagnée de plusieurs militants séparatistes, la sulfureuse Sultana Khaya s’est pris en photo avec le député communiste, Jean-François Lecoq, au sein du Palais Bourbon, laissant croire que la délégation a été invitée par le Parlement français pour assister à des séance publiques de débat dans le cadre de “la Semaine de contrôle de l'Assemblée” où la question du Sahara a été inscrite à l’ordre du jour, à l’initiative du parti Communiste.
La presse algérienne ainsi que les relais de la propagande séparatiste ont aussitôt jubilé, en présentant cet événement comme un accueil par le Parlement français des dirigeants de la pseudo “rasd”. Ce qui n’est pas exact puisqu’il s’agit d’une tentative d’induire l’opinion publique en erreur. Nous avons contacté la présidence de l’Assemblée nationale, dont une source autorisée nous a fait savoir que les représentants du polisario n’ont pas été invités par l’Assemblée. “Cette délégation est venue à l’Assemblée nationale à l’invitation personnelle du député Jean-Paul Lecoq. Je vous invite à prendre attache directement avec M. Lecoq pour avoir plus d'informations sur cet entretien privé”, précise la même source qui nous a répondu par email.
Ainsi la présidence de l’Assemblée nationale nous a invité à contacter le député communiste pour avoir plus d’informations sur les circonstances de la réception de la délégation. Une façon de dire que la responsabilité de cette initiative individuelle incombe au député. Ce dernier est connu pour sa proximité avec le front séparatiste, vu son appartenance à une famille politique qui soutient l’idéologie révolutionnaire.
L'accueil des séparatistes au sein du bastion de la démocratie française a été perçu comme un acte exacerbant la crise qui ne dit pas son nom entre le Maroc et la France. Rappelons que les relations franco-marocaines ne sont pas aussi prospères qu’elles étaient auparavant. Un vent glacial souffle sur le climat de l’axe Paris-Rabat. Plusieurs divergences opposent les deux pays à savoir la crise des visas, le dossier épineux de l’imam Hassan Iquioussen et la question du Sahara. Le Maroc appelle son allié historique à adopter une position plus claire et plus audacieuse en faveur de la souveraineté du Royaume sur ses provinces du sud.
La presse algérienne ainsi que les relais de la propagande séparatiste ont aussitôt jubilé, en présentant cet événement comme un accueil par le Parlement français des dirigeants de la pseudo “rasd”. Ce qui n’est pas exact puisqu’il s’agit d’une tentative d’induire l’opinion publique en erreur. Nous avons contacté la présidence de l’Assemblée nationale, dont une source autorisée nous a fait savoir que les représentants du polisario n’ont pas été invités par l’Assemblée. “Cette délégation est venue à l’Assemblée nationale à l’invitation personnelle du député Jean-Paul Lecoq. Je vous invite à prendre attache directement avec M. Lecoq pour avoir plus d'informations sur cet entretien privé”, précise la même source qui nous a répondu par email.
Ainsi la présidence de l’Assemblée nationale nous a invité à contacter le député communiste pour avoir plus d’informations sur les circonstances de la réception de la délégation. Une façon de dire que la responsabilité de cette initiative individuelle incombe au député. Ce dernier est connu pour sa proximité avec le front séparatiste, vu son appartenance à une famille politique qui soutient l’idéologie révolutionnaire.
L'accueil des séparatistes au sein du bastion de la démocratie française a été perçu comme un acte exacerbant la crise qui ne dit pas son nom entre le Maroc et la France. Rappelons que les relations franco-marocaines ne sont pas aussi prospères qu’elles étaient auparavant. Un vent glacial souffle sur le climat de l’axe Paris-Rabat. Plusieurs divergences opposent les deux pays à savoir la crise des visas, le dossier épineux de l’imam Hassan Iquioussen et la question du Sahara. Le Maroc appelle son allié historique à adopter une position plus claire et plus audacieuse en faveur de la souveraineté du Royaume sur ses provinces du sud.