L’Institut panafricain de recherche, de formation et d’action pour la citoyenneté, la consommation et le développement en Afrique (CICODEV) vient de lancer de son programme novateur dénommé « Feed Good » (Bien se nourrir) à Kaolack (centre). L’annonce a été faite par son exécutif, Amadou Kanouté.
Il a expliqué que l’Institut est en train de vulgariser les produits agroécologiques, les produits issus d’une agriculture saine et durable. « Les promouvoir, c’est répondre aux attentes des consommateurs et des citoyens qui veulent les consommer mais ne savent pas où en trouver », a expliqué M. Kanouté.
Selon lui, il y a une question d’accessibilité géographique et d’accessibilité financière à ces produits avant d’affirmer que CICODEV a mené « une étude qui montre les difficultés auxquelles sont confrontés ceux qui veulent consommer les produits issus de l’agroécologie ».
Cette initiative a été lancée en présence de représentants des autorités administratives, du secteur privé et des consommateurs de la région de Kaolack, dans le but de leur montrer les problèmes identifiés et leur demander quelles solutions proposent-ils pour que ces produits soient accessibles pour tous.
En outre, l’organisation va utiliser ces solutions consensuelles pour faire un plaidoyer en vue de la levée des obstacles à la circulation des produits agroécologiques, a fait savoir M. Kanouté.
La démarche consiste à trouver des places où le consommateur qui fait le choix de consommer ces produits sains pourra les trouver. Dans ce sens, CICODEV veut faire en sorte que ces produits soient disponibles sur les marchés institutionnels. Il s’agira des prisons, des hôpitaux, des écoles, des camps militaires…
Il a expliqué que l’Institut est en train de vulgariser les produits agroécologiques, les produits issus d’une agriculture saine et durable. « Les promouvoir, c’est répondre aux attentes des consommateurs et des citoyens qui veulent les consommer mais ne savent pas où en trouver », a expliqué M. Kanouté.
Selon lui, il y a une question d’accessibilité géographique et d’accessibilité financière à ces produits avant d’affirmer que CICODEV a mené « une étude qui montre les difficultés auxquelles sont confrontés ceux qui veulent consommer les produits issus de l’agroécologie ».
Cette initiative a été lancée en présence de représentants des autorités administratives, du secteur privé et des consommateurs de la région de Kaolack, dans le but de leur montrer les problèmes identifiés et leur demander quelles solutions proposent-ils pour que ces produits soient accessibles pour tous.
En outre, l’organisation va utiliser ces solutions consensuelles pour faire un plaidoyer en vue de la levée des obstacles à la circulation des produits agroécologiques, a fait savoir M. Kanouté.
La démarche consiste à trouver des places où le consommateur qui fait le choix de consommer ces produits sains pourra les trouver. Dans ce sens, CICODEV veut faire en sorte que ces produits soient disponibles sur les marchés institutionnels. Il s’agira des prisons, des hôpitaux, des écoles, des camps militaires…
Discussions avec les parties concernées
Dans ce sens l’étude menée par l’Institut donne toutes les solutions possibles, à la suite de discussions avec les parties concernées. Ces produits créent des emplois et protègent l’environnement, l’eau et la terre.
Pour rappel, l’initiative « Feed Good » a été lancée à Kaolack avec la collaboration du Conseil national de concertation et de coopération des ruraux, l’une des principales organisations paysannes du pays, pour permettre aux agriculteurs de produire et de consommer « de manière saine et durable ».
D’autres organisations, dont Humundi (ex-SOS Faim), soutiennent le programme, qui est déroulé en même temps dans 11 pays, dont le Bénin, le Burkina Faso et le Mali. Le programme d’une durée de quatre ans vise à améliorer les conditions de vie des paysans et des autres acteurs de l’économie sociale et solidaire, avec des systèmes alimentaires durables et résilients, et un environnement sain.
Il vise à contribuer à l’amélioration des moyens d’existence des producteurs, des transformatrices et des acteurs de la chaîne alimentaire, à travers une production alimentaire durable, soutient CICODEV.
Au Sénégal, le programme concerne aussi les communes de Sinthiou Malème et de Tambacounda (est), selon M. Kanouté. Plusieurs obstacles ont été identifiés, lesquels étouffent l’agroécologie et l’empêchent de connaître le développement espéré, lit-on dans le document.
Pour rappel, l’initiative « Feed Good » a été lancée à Kaolack avec la collaboration du Conseil national de concertation et de coopération des ruraux, l’une des principales organisations paysannes du pays, pour permettre aux agriculteurs de produire et de consommer « de manière saine et durable ».
D’autres organisations, dont Humundi (ex-SOS Faim), soutiennent le programme, qui est déroulé en même temps dans 11 pays, dont le Bénin, le Burkina Faso et le Mali. Le programme d’une durée de quatre ans vise à améliorer les conditions de vie des paysans et des autres acteurs de l’économie sociale et solidaire, avec des systèmes alimentaires durables et résilients, et un environnement sain.
Il vise à contribuer à l’amélioration des moyens d’existence des producteurs, des transformatrices et des acteurs de la chaîne alimentaire, à travers une production alimentaire durable, soutient CICODEV.
Au Sénégal, le programme concerne aussi les communes de Sinthiou Malème et de Tambacounda (est), selon M. Kanouté. Plusieurs obstacles ont été identifiés, lesquels étouffent l’agroécologie et l’empêchent de connaître le développement espéré, lit-on dans le document.
