Cette initiative s’inscrit dans la continuité de la politique africaine de l’ASMEX et confirme son rôle de diplomatie parallèle, créant des ponts tangibles entre les entreprises marocaines et les marchés africains à fort potentiel, indique la Confédération dans un communiqué.
À travers cette mission, l’ASMEX offre aux exportateurs marocains des rencontres BtoB ciblées et sur mesure avec des donneurs d’ordres, importateurs et partenaires stratégiques kenyans, ainsi que des opportunités sectorielles précises couvrant l’agriculture, l’énergie renouvelable, l’industrie manufacturière, les TIC, le tourisme et l’immobilier.
L’ASMEX engagée à concrétiser la ZLECAF
Il s’agit également d’un cadre institutionnel et stratégique favorisant la conclusion de partenariats durables et l’élargissement de la présence marocaine en Afrique anglophone.
« Le Kenya est une plateforme géoéconomique incontournable. Sa dynamique d’innovation et son rôle de passerelle régionale en font un partenaire naturel pour les entreprises marocaines en quête d’expansion en Afrique de l’Est. Cette mission illustre la volonté de l’ASMEX de concrétiser la ZLECAF par l’action et la proximité avec les marchés », a déclaré le président de l’ASMEX, Hassan Sentissi, cité dans le communiqué.
Avec cette nouvelle étape, qui a été précédée par l’Angola, l’Égypte et le Ghana, l’ASMEX confirme son engagement à accompagner les entreprises marocaines dans leur stratégie africaine, en conjuguant vision, expertise et influence économique.
Le communiqué rappelle que le Kenya, première puissance économique d’Afrique de l’Est, se distingue par son dynamisme, sa stabilité et son rôle de hub régional.
Ce pays constitue une porte d’entrée vers la Communauté d’Afrique de l’Est (EAC) et la COMESA (Common Market for Eastern and Southern Africa – Marché commun de l’Afrique orientale et australe) qui représente un marché de plus de 500 millions de consommateurs.
Acteur majeur de la « Silicon Savannah », reconnu comme un centre d’innovation et de fintech en Afrique subsaharienne, le Kenya dispose d’une économie diversifiée, soutenue par une classe moyenne en expansion, des infrastructures modernes et une ouverture affirmée aux investissements étrangers.
À travers cette mission, l’ASMEX offre aux exportateurs marocains des rencontres BtoB ciblées et sur mesure avec des donneurs d’ordres, importateurs et partenaires stratégiques kenyans, ainsi que des opportunités sectorielles précises couvrant l’agriculture, l’énergie renouvelable, l’industrie manufacturière, les TIC, le tourisme et l’immobilier.
L’ASMEX engagée à concrétiser la ZLECAF
Il s’agit également d’un cadre institutionnel et stratégique favorisant la conclusion de partenariats durables et l’élargissement de la présence marocaine en Afrique anglophone.
« Le Kenya est une plateforme géoéconomique incontournable. Sa dynamique d’innovation et son rôle de passerelle régionale en font un partenaire naturel pour les entreprises marocaines en quête d’expansion en Afrique de l’Est. Cette mission illustre la volonté de l’ASMEX de concrétiser la ZLECAF par l’action et la proximité avec les marchés », a déclaré le président de l’ASMEX, Hassan Sentissi, cité dans le communiqué.
Avec cette nouvelle étape, qui a été précédée par l’Angola, l’Égypte et le Ghana, l’ASMEX confirme son engagement à accompagner les entreprises marocaines dans leur stratégie africaine, en conjuguant vision, expertise et influence économique.
Le communiqué rappelle que le Kenya, première puissance économique d’Afrique de l’Est, se distingue par son dynamisme, sa stabilité et son rôle de hub régional.
Ce pays constitue une porte d’entrée vers la Communauté d’Afrique de l’Est (EAC) et la COMESA (Common Market for Eastern and Southern Africa – Marché commun de l’Afrique orientale et australe) qui représente un marché de plus de 500 millions de consommateurs.
Acteur majeur de la « Silicon Savannah », reconnu comme un centre d’innovation et de fintech en Afrique subsaharienne, le Kenya dispose d’une économie diversifiée, soutenue par une classe moyenne en expansion, des infrastructures modernes et une ouverture affirmée aux investissements étrangers.