Plus de 15 millions de plus ont rejoint la liste des bénéficiaires des services de la CNSS portant, ainsi, le nombre de bénéficiaires à 23,2 millions. C’est ce qui ressort que du rapport sur « la mise en œuvre du régime d’assurance-maladie obligatoire » présenté à la Commission des Finances, de la Planification et du Développement Économique à la Chambre des Conseillers.
Ledit rapport fait savoir, par ailleurs, que le nombre de dossiers de soins pour les travailleurs non salariés a atteint environ 642.700 en 2022, tandis que le nombre de dossiers de soins pour les bénéficiaires de l’AMO pour le mois de décembre a dépassé les 55.942 dossiers. Les dossiers déposés quotidiennement auprès de la CNSSS ont passé de 22.000 en décembre 2022 à 60.600 dossiers en juin 2023. Un constat positif fruit du lancement du chantier de la généralisation de la couverture maladie et toutes les mesures qui en découlent, notamment la multiplication des partenariats avec des organismes de communication. Lesquels sont chargés d’identifier les catégories de travailleurs non salariés et de transmettre leurs informations personnelles à la CNSS. On peut citer également l’élargissement par la CNSS de sa représentation territoriale à travers l’ouverture de 51 nouvelles agences permanentes et 45 agences mobiles.
À cela s’ajoutent, la création de 8.000 centres de communication pour l’enregistrement des travailleurs non salariés, 2.000 points de contact pour la réception des dossiers d’assurance-maladie obligatoire, et 4.000 agences dédiées au paiement des cotisations. Le digital s’impose parmi les priorités de la CNSS. La caisse a, en effet, lancé une série de plateformes et d’applications électroniques en vue d’améliorer ses services. L’objectif étant d’assurer la durabilité de la couverture maladie obligatoire.
En termes du coût des médicaments et des frais de traitement, le rapport relève que des ateliers sur la généralisation de la couverture maladie obligatoire ont été organisés en parallèle avec des ateliers de restructuration du secteur de la santé. Ces efforts ont été soutenus par des mesures étatiques visant à encourager l’investissement dans ce secteur vital, à réhabiliter les infrastructures de santé publique et revoir le cadre de gouvernance et de gestion.
Ledit rapport fait savoir, par ailleurs, que le nombre de dossiers de soins pour les travailleurs non salariés a atteint environ 642.700 en 2022, tandis que le nombre de dossiers de soins pour les bénéficiaires de l’AMO pour le mois de décembre a dépassé les 55.942 dossiers. Les dossiers déposés quotidiennement auprès de la CNSSS ont passé de 22.000 en décembre 2022 à 60.600 dossiers en juin 2023. Un constat positif fruit du lancement du chantier de la généralisation de la couverture maladie et toutes les mesures qui en découlent, notamment la multiplication des partenariats avec des organismes de communication. Lesquels sont chargés d’identifier les catégories de travailleurs non salariés et de transmettre leurs informations personnelles à la CNSS. On peut citer également l’élargissement par la CNSS de sa représentation territoriale à travers l’ouverture de 51 nouvelles agences permanentes et 45 agences mobiles.
À cela s’ajoutent, la création de 8.000 centres de communication pour l’enregistrement des travailleurs non salariés, 2.000 points de contact pour la réception des dossiers d’assurance-maladie obligatoire, et 4.000 agences dédiées au paiement des cotisations. Le digital s’impose parmi les priorités de la CNSS. La caisse a, en effet, lancé une série de plateformes et d’applications électroniques en vue d’améliorer ses services. L’objectif étant d’assurer la durabilité de la couverture maladie obligatoire.
En termes du coût des médicaments et des frais de traitement, le rapport relève que des ateliers sur la généralisation de la couverture maladie obligatoire ont été organisés en parallèle avec des ateliers de restructuration du secteur de la santé. Ces efforts ont été soutenus par des mesures étatiques visant à encourager l’investissement dans ce secteur vital, à réhabiliter les infrastructures de santé publique et revoir le cadre de gouvernance et de gestion.
