Le Prix de la caricature non attribué pour sa première participation
Les distinctions du Grand Prix ont porté cette année sur le Prix de la télévision, le Prix de la radio, le Prix de la presse écrite, le Prix de la presse électronique, le Prix de l’agence de presse, le Prix de la production journalistique amazighe, le Prix de la production journalistique hassanie et le Prix de la photographie, tandis que le jury a décidé de ne pas attribuer le Prix de la caricature, même si ce dernier a été créé à l’occasion de cette 17ème édition du Grand Prix National de la Presse.
Ainsi, le Prix honorifique, qui rend hommage à une personnalité du monde des médias ayant contribué à l’évolution du paysage médiatique national et à la consécration des nobles principes du métier, a été accordé au journaliste Mohammed Boukhazer.
Le Prix de la télévision a été remporté par El Mehdi Mossadek (2M), pour un épisode du "Grand Angle" intitulé "Un rein pour la vie", et les journalistes Khadija Rchouk et Aziz Fikhar d'Al Aoula (SNRT), pour un documentaire intitulé "Haya ala Falah, du Maroc à l'Egypte".
Par ailleurs, le jury a donné une "mention spéciale" à la troisième œuvre qui a atteint la finale de cette catégorie, en l'occurrence le programme "Moukhtafoun" (disparus) de la journaliste Asmaa Aïnoune (2M), sous le titre "L'histoire de l'Allemand-Marocain Karim Miyar"...
Le Prix de la presse écrite a été décerné au journaliste Salah Eddine Lemaïzi du journal "Les inspirations Eco" et à deux journalistes du journal "Bayan al-Youm".
Hajar LEBABI
Ainsi, le Prix honorifique, qui rend hommage à une personnalité du monde des médias ayant contribué à l’évolution du paysage médiatique national et à la consécration des nobles principes du métier, a été accordé au journaliste Mohammed Boukhazer.
Le Prix de la télévision a été remporté par El Mehdi Mossadek (2M), pour un épisode du "Grand Angle" intitulé "Un rein pour la vie", et les journalistes Khadija Rchouk et Aziz Fikhar d'Al Aoula (SNRT), pour un documentaire intitulé "Haya ala Falah, du Maroc à l'Egypte".
Par ailleurs, le jury a donné une "mention spéciale" à la troisième œuvre qui a atteint la finale de cette catégorie, en l'occurrence le programme "Moukhtafoun" (disparus) de la journaliste Asmaa Aïnoune (2M), sous le titre "L'histoire de l'Allemand-Marocain Karim Miyar"...
Le Prix de la presse écrite a été décerné au journaliste Salah Eddine Lemaïzi du journal "Les inspirations Eco" et à deux journalistes du journal "Bayan al-Youm".
Hajar LEBABI
Le Prix national de la presse : une volonté royale
Dans une déclaration, le ministre de la Culture, de la Jeunesse et des Sports, Hassan Abyaba, a affirmé que le Prix occupe une place importante pour le corps journalistique. Sa Majesté le Roi Mohammed VI a annoncé la création de ce Prix comme un message adressé au corps médiatique national le soir de la célébration de la Journée nationale d'information le 15 novembre 2002, où Sa Majesté a décidé que ce Prix sera une occasion annuelle d'encourager les talents journalistiques marocains et d'honorer les pionniers qui ont rendu de grands services à la profession de journaliste. Hassan Abyaba a également souligné que plusieurs mesures seront prises pour améliorer le décret qui réglemente ce Prix afin de répondre aux attentes des professionnels.