Pour ces deux rendez-vous, le sélectionneur national a convoqué 27 joueurs, mélange d’expérience et de sang neuf. Le retour du capitaine Romain Saïss, de l’attaquant virevoltant Soufiane Rahimi et du créatif Sofiane Diop redonne du relief à un groupe qui se veut ambitieux. La convocation pour la première fois du latéral gauche du PSV Eindhoven, Anass Salah-Eddine, témoigne, elle, de la volonté de Regragui d’élargir sa base défensive.
En revanche, l’absence de Achraf Hakimi et Nayf Aguerd, blessés, laisse un vide certain, mais elle offre l’occasion à d’autres Lions de rugir et de prouver leur valeur.
Ces deux matchs tests s’inscrivent dans la continuité du travail tactique entamé depuis plusieurs mois. Au-delà du résultat, il s’agira pour le staff technique d’affiner les automatismes, de renforcer la cohésion et de jauger l’état de forme des cadres avant le grand rendez-vous continental.
Les Lions de l’Atlas, rappelons-le, évolueront dans le groupe A de la prochaine CAN (21 décembre – 18 janvier) aux côtés des Comores, du Mali et de la Zambie. Une poule relevée, mais à la portée de l’équipe nationale qui rêve d’offrir à tout un peuple un sacre à domicile, 50 ans après son unique couronne continentale.
Ces deux soirées tangéroises promettent donc d’être bien plus que de simples matchs amicaux : un dernier galop d’essai, une répétition générale, et surtout une déclaration d’intention. Le Maroc veut sa CAN, et il compte le montrer dès maintenant.
En revanche, l’absence de Achraf Hakimi et Nayf Aguerd, blessés, laisse un vide certain, mais elle offre l’occasion à d’autres Lions de rugir et de prouver leur valeur.
Ces deux matchs tests s’inscrivent dans la continuité du travail tactique entamé depuis plusieurs mois. Au-delà du résultat, il s’agira pour le staff technique d’affiner les automatismes, de renforcer la cohésion et de jauger l’état de forme des cadres avant le grand rendez-vous continental.
Les Lions de l’Atlas, rappelons-le, évolueront dans le groupe A de la prochaine CAN (21 décembre – 18 janvier) aux côtés des Comores, du Mali et de la Zambie. Une poule relevée, mais à la portée de l’équipe nationale qui rêve d’offrir à tout un peuple un sacre à domicile, 50 ans après son unique couronne continentale.
Ces deux soirées tangéroises promettent donc d’être bien plus que de simples matchs amicaux : un dernier galop d’essai, une répétition générale, et surtout une déclaration d’intention. Le Maroc veut sa CAN, et il compte le montrer dès maintenant.





















